C'est comme une libération. Il y avait trop de pression. Ce blog me rappelle le passé. Nostalgique mais pas triste. J'avais oublié.

Et puis, dansant dans le noir, la musique à fond dans les écouteurs, sur 10 centimètres de talons, j'ai eu envie d'écrire. Mais pas forcément la bas.

Je me suis connecté. Et j'ai vu ce petit mot, à coté de mon imie, "Nébuleuse".

Je devrais recommencer les règles. Elles étaient utiles.
Ne pas trop boire.
Ne pas trop fumer.
Ne pas trop aimer.
Ne pas trop rêver.
Ne pas trop se souvenir.

A chacun de ces souvenirs me revient ce goût amer. Que je vous ai aimé tous pour des raisons différentes. Et que l'homme parfait c'est vous. Pas toi, ni toi. Mais vous.

Toi et ton côté révolutionnaire, 
Ou humaniste,
Ou romantique,
Ou j'en ai rien a foutre,
Ou à la sexualité débridée.

Bon sang, mais quand est ce que je saurai vraiment qui je suis? Un femme, qui le sait, qui le sent, et qui s'y plait, ça c'est sur.
Mais romantique? Indépendante? Amoureuse? Rêveuse? Perdue? Folle?  Politique? Débridée?

Je veux m'abandonner, vibrer, vivre. 
Et cela fait bien longtemps que ce n'est pas arrivé. 
Tellement longtemps...
 
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Nébuleuse..